→ INSCRIT DEPUIS : 19/12/2012 → MESSAGES : 80 → LOGEMENT : Dans un appart' en colocation avec Morning → JOB(S) : Educateur à l'orphelinat → HUMEUR : Bonne
| Sujet: une vie d'chien ▲ CHRISTA. Mer 19 Déc - 17:39 | |
| GRACE CHRISTA JONES CRÉDIT - TUMBLR« La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. » "This is something that everyone knows :" NOM & PRÉNOM(S) : Grace pour le premier rappelant ainsi le prénom de la grande mère défunte maternelle, Christa pour le second qui est un prénom d'origine danoise choisi pour ses jolies consonnances. Jones ; et oui, elle vient de la grande et richissime famille Jones. DATE DE NAISSANCE ET AGE : pendant la nuit de Noël, c'est à dire, le 24 décembre. Elle a dix sept ans ORIGINE(S) :américaines EMPLOI ET/OU ETUDE(S) : ancien mannequin, actuellement chômeuse STATUT : en couple QUELQUES INFORMATIONS ESSENTIELLES SUR TOI ♦ Christa a tout plaqué récemment : elle est partie de chez sa mère pour aller vivre chez son copain et elle a aussi arrêté le mannequinat. Bien qu'elle vient d'une famille riche, Christa est toujours restée les deux pieds sur Terre et n'a jamais pris la grosse tête. Elle est restée très simple, niant la fortune familiale et tous les moyens qu'elle possédait. D'ailleurs, depuis qu'elle a quitté sa mère, elle n'a plus trop d'argent... Christa a deux chiens comme animaux de compagnie : deux cockers. C'est sa rare préférée, mais elle ignore pourquoi. De plus, elle déteste les chats. Son copain ne vient pas du même milieu qu'elle, et bien qu'elle prétend le contraire, elle a du mal à s'habituer à ce monde. Elle reste une gosse de riche, célèbre et populaire malgré elle. Elle aime faire plaisir aux gens. Elle fait donc passer les autres avant elle. Son plat favori est les spaghettis bolognaises. D'ailleurs, seul son copain sait bien les faire. Christa est une grande romantique et légèrement fleur bleu. Elle a un tatouage au creux de ses reins : celui-ci représente une trace de patte de chien. Son odorat est très développée : elle est assez maniaque concernant les odeurs. Actuellement, elle n'a pas de job. Elle possède toujours un collier dont le pendentif est un diamant. Elle l'a depuis sa naissance (il lui semble). Ses parents ont divorcé quand elle avait douze ans : elle a toujours véçu avec sa mère par la suite. Celle-ci lui disait d'ailleurs qu'elle devait faire du mannequinat pour éviter d'être pauvres. Christa a très vite compris que sa mère lui mentait... Elle n'a jamais eu de nouvelles de son paternel depuis le divorce. | | TRAITS DE CARACTÈRE ♦ fidèle, coquine, rusée, dynamique, folle, jalouse, simple, innocente, franche, sincère, attachante, bornée, pied à terre, pas idiote, rancunière, modeste, indépendante, addict à la mode (malgré elle), timide, sérieuse, joie de vivre, responsable, peureuse, marrante, attachante. |
CHAPTER ONE " Because we all lived in a fairytale." A L'EPOQUE TU ÉTAIS : Lady, surnommée Belle LE CONTE : La Belle et le Clochard TON RÔLE DANS L'HISTOIRE : la petite chienne de Darling, offerte à celle-ci pour un Noël et qui tombe amoureuse d'un chien bâtard après s'être enfuie de chez elle DE QUEL COTE ES-TU ? : du bien TON DERNIER SOUVENIR : une chanson italienne avec un air d'accordéon, des boulettes de viande, quelques flammes de bougies qui dansaient dans la nuit et des barreaux. Puis, un nuage gris et un trou noir.chapitre un "il était une fois, à Noël...". Darling, une jeune reine d'un pays fort fort lointain, ressemblant vaguement à la Nouvelle-Angleterre d'ailleurs, désirait absolument un petit chien pour animal de compagnie, et pas n’importe lequel ; un petit cocker. Le Roi, Jim, connaissant par coeur sa femme (et son coté "capricieuse") demanda à tout le royaume d'aller trouver ce type de chien. Malheureusement, la Reine dut attendre quelques jours avant qu'un écuyer de sa Majesté en ramena un. L'écuyer, arrivé face à la Reine, mit le petit chiot par terre et ce dernier se mit à courir vers la Reine, Darling. Celle-ci le prit, avec un sourire perché sur ses lèvres. « Comme il est mignon ! C'était exactement celui que je voulais ! Jeune homme, que désires-tu comme récompense ? » demanda-t-elle à l'écuyer. « Ce que sa Majesté souhaite. Je ne suis pas très compliqué à vrai dire. » répondit-il, calmement en s'inclinant légèrement. « Alors, on te donnera une grande somme d'argent. Comme ça, tu devras riche et tu pourras nourrir des enfants et ta femme. » dit-elle, en souriant avec douceur. Puis, elle fit signe à l'écuyer qu'il pouvait à présent disposer. Une fois parti, les yeux de Darling se posèrent sur la boule de poil. Heureuse d'avoir enfin le chien de ses rêves, elle se mit à dire avec enthousiasme. « On va t’appeler Lady. » rajouta-t-elle avec douceur, en observant le chiot. Ce dernier se mit alors à aboyer et à remuer la queue. Le prénom lui plaisait à coup sûr. chapitre deux "la fuite dans les rues".Lady passait des jours paisibles en compagnie de ce couple riche et chaleureux… Jusqu’au jour, où Darling attendit un heureux évènement. Lady se sentit alors mis à l’écart, sans savoir et comprendre la raison de cette séparation. Mais, malheureusement, la situation ne s’arrangera pas. Lorsque Darling accoucha d’un petit garçon, Jim et elle partirent pour quelques jours en voyage laissant leur fils et Lady sous la garde d'une nourrison, Lucy, accompagnée de ses deux siamois. Hélas, suite à un coup monté de la part des deux chats, Lucy décida de mettre une muselière à Lady, mais celle-ci réussit à s'échapper pour s'enfuir. Elle se mit alors à courir à travers champs et chemins, essayant d'éviter les sabots des cheveux et les roues des calèches. Elle eut même à ses trousses des chiens errants, fous de rage, lui aboyant dessus. Pauvre Lady… Elle, si gracieuse, si douce et si gentille… Piégée dans un chemin qui n’avait aucune issue par les chiens errants, ce fut à ce moment là qu’elle le rencontra. Un bâtard, un poil prétentieux mais très courageux. Grâce à cet inconnu, Lady fut sauvée et elle put même découvrir la beauté du pays en la compagnie de cet bel inconnu, très différent d’elle n’étant pas du même milieu… chapitre trois "un grand amour maudit.". Lady ne rentra pas tout de suite chez elle, après sa fuite et sa rencontre avec Todd. Elle en profita pour découvrir des choses qu’elle ne connaissait pas, elle, petit cocker de maison et lui, grand vagabond. Ainsi, Todd lui fit visiter la Nouvelle-Angleterre… Et ce fut pendant cette flânerie, qu’un grand amour naquit entre ces deux chiens. Todd, grand romantique, amena un soir Lady chez Tony. « Viens Lady ! Dîner aux chandelles ! Tu vas voir, c’est géant ! » dit Todd en prenant la direction du restaurant italien, dont le chef cuisinier était un ami humain de longue date de Todd. Bien entendu, le diner fut merveilleux : spaghettis bolognaises, bougies, petite table situé sous les étoiles et un petit air d’accordéon comme fond sonore. La soirée fut magique pour Lady ! Et leur amour ne fit que grandir ! Mais, la malédiction rattrapa très vite cet amour infini. Todd fut emmené à la fourrière. Quant à Lady, elle ne revit plus jamais Darling, Jim et Todd... CHAPTER TWO " now, we are trapped in a curse..." chapitre un "celle qui n'a jamais voulu être celle qu'elle est".Je venais d’arriver au lycée de Taleville. J'avais toujours vécu à Taleville. Ma voiture garée, je sortis de celle-ci. Claquant la porte, je me mis à soupirer discrètement. Tout allait être comme hier, avant-hier et tous les autres jours d’ailleurs. Tous les lycéens allaient me suivre du regard lorsque j’allais faire mon apparition dans le couloir du lycée. Ainsi, obligée d’aller en cours, je pris la direction de l’entrée du lycée, montant ainsi les escaliers. J’entendais déjà les mêmes murmures qu’hier. Et ils prirent de l’ampleur lors de mon arrivée à l'intérieur de l'établissement, dans le couloir. « Tu l’as vue ? C’est Christa… La Reine du lycée. » dit une première, en me jetant un regard d’admiration. Je secouai la tête, feignant d’avoir entendu. Je continuai de marcher, essayant de me rendre dans ma salle de cours. « T’as vu comme elle est canon la fille Jones. Raaa, elle doit être bonne au lit notre Reine du lycée. » dit un second. Je fus dégoûtée. Comment pouvait-on dire de si odieuses paroles ? Je soupirai discrètement, me frayant toujours un passage parmi les potins des lycéens, ces derniers et les casiers. En faite, ma vie avait changé depuis qu’on m’avait élu Reine du lycée lors du bal de promo. Et, mes ressources financières démesurées n’arrangeaient pas les choses. De même pour mon nom Jones : mon père était mondialement connu grâce à ses sociétés industrielles implantées partout dans le monde. Ma mère, quant à elle, était un excellent médecin spécialiste. Ainsi, j’étais ce genre de filles : belle, populaire, riche et célèbre. Malheureusement, je n’avais jamais demandé ce « genre » de vie… chapitre deux "celle qui est devenue mannequin contre son plein gré". J’étais devenue mannequin depuis presque un an grâce à ma taille élancée et fine. Les boites de mannequinat ne m’avaient pas loupé, et ma mère m’avait obligé à y entrer, prétextant que depuis le divorce entre papa et elle, on n’avait plus beaucoup d’argent. Cependant, elle mentait mais je n’avais pas bronché. « Aller, Belle, tournes toi légèrement vers moi. Et, fixe-moi. » me dit le photographe pour un énième magasine de mode. Je m’exécutais, sans broncher, souriante comme d’habitude. C’était devenu une habitude. Mais, tous les photographes me surnommaient « Belle ». Si j’étais surnommée comme telle, ça venait de mon premier photographe ; celui-ci avait été tellement ébloui par ma beauté et par la manière dont je l’utilisais que le mot « Belle » lui avait échappé de la bouche, rougissant légèrement. Depuis, c’était resté grâce aux magasins (à mon plus grand regret). « Parfait Belle. Maintenant, vas te changer. On va prendre d’autres photos avec de nouveaux vêtements. Ca sera pour la collection d’hiver. » m’ordonna-t-il, aimablement, tout en changeant de pellicule. Je descendis de l’estrade, avec un sourire en coin, prenant la direction du vestiaire. Là bas, je savais qu’on allait encore m’habiller et qu’on allait aussi me refaire le maquillage. Ce monde était devenu le mien, et mon quotidien. Malheureusement, je n’avais rien demandé (encore une fois). chapitre trois "celle qui a tout plaqué en claquant plusieurs fois les portes". J’en avais marre. De tout. De ma mère, de ce job de mannequin, de mes études,… Bref de tout. Je n’avais jamais voulu une telle vie. La fille que j’étais ne me ressemblait pas. « MAMAN ! J’en ai assez ! Tout est fini ! Mes études, le mannequinat et le logement chez toi. Je m’casse d’ici. » criai-je, en claquant une porte. Ma mère était bouleversée comme d’habitude, car ce n’était pas la première dispute entre nous deux. Depuis que j’avais dix neuf ans, les disputes n’avaient jamais cessé jusqu’ici. « Et t’iras où ? » me demanda-t-elle, attendant la réponse que je lui ai toujours donné. « Chez lui. » dis-je, en prenant un sac en même temps afin de mettre en vrac quelques vêtements. « Chez lui ? Qui-est ? » me questionna-t-elle, en s’adossant sur le mur, ses yeux certainement fixés sur ma porte fermée. « Tu sais très bien qui il est. Arrêtes de le nier. » aboyai-je, furieuse par l’aptitude de ma mère. Puis, j’ouvris ma porte et descendis en trompe les marches d’escaliers. « Maman, j’en ai plus qu’assez. J’ai dix sept ans, et jusqu’ici, tout ce que j’ai fait était pour te faire plaisir. Maintenant, c’est fini. Je ne veux pas moisir ici. Je vais chez lui, car on s’aime malgré tout. » finis-je, en plantant pendant un instant mes yeux dans les siens. A cet instant, elle avait tout compris. Elle venait enfin de comprendre que j’avais grandi. Je claquai la porte d’entrée, laissant ma mère derrière, tout en plaquant mon passé. Je n’étais plus cette mannequin, ni cette gosse célèbre et riche. Hélas, c'était loin d'être le cas : j'étais encore célèbre mais beaucoup moins riche... "You and no one else." QUI ES-TU ? : PROUT CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Jess'Stroup AVEZ-VOUS PRIS UN SCÉNARIO ? : Nop COMMENT TU ES TOMBÉ(E) SUR LE FORUM ? : Il y a fort longtemps ! UN MOT EN PLUS ? : Judy three | | |
Dernière édition par G. Christa Jones le Dim 13 Jan - 18:22, édité 43 fois |
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