CRÉDIT - TUMBLR

« - Oh, l’amour... C’est un bien grand mot !
- Je sais pas... y a que 5 lettres. »

"This is something that everyone knows :"

NOM & PRÉNOM(S) : Skyler Anastasy Collins DATE DE NAISSANCE ET AGE : 19 decembre 1988, 23 ans ORIGINE(S) : Américaine, c'est ce qu'elle prétend du moins EMPLOI ET/OU ETUDE(S) : uc STATUT : Célibataire

CHAPTER ONE "Because we all lived in a fairytale."

A L'EPOQUE TU ÉTAIS : Esméralda LE CONTE : Le Bossu de Notre-Dame TON RÔLE DANS L'HISTOIRE : La bohémienne pourchassée pour être une voleuse comme le reste de mon peuple, mais protégée par le Bossu et Phœbus le capitaine de la garde de protection DE QUEL COTE ES-TU ? : Du bien !! TON DERNIER SOUVENIR : Je me souviens de flammes, de grandes flammes, ainsi que d'une église, ou une cathédrale, je ne sais pas trop.

Une cathédrale. C'était le point d'encrage de toute mon histoire. Enfin pas toute mon histoire, mais la plus palpitante devrais-je dire. Née d'une famille de gitans, j'ai toujours vécu dans cette même ville. Mes parents m'ont racontés que lorsqu'ils se sont installés ici, je suis venue au monde. N'ayant jamais connu autre chose que ce petit bout de royaume, je m'y plaisais beaucoup. Mais les seuls accroches que j'avais, c'était avec les enfants de mon peuple, les autres nous regardaient d'un mauvais œil, bien qu'il y ait des exceptions tout de même. Les habitants de haute classe ne nous appréciaient pas trop, pour eux nous étions de simples voleurs. Seulement j'ai toujours vécu dans la misère, en quelques sortes, et notre boulot à nous les filles, était de nous trémousser dans la rue, dansant de jolies danse perpétuées de générations en générations. Nous ramassions quelques sous pour nous acheter du pain, autant dire que ce n'était pas le début de la richesse, mais depuis notre naissance nous étions habitués à ce mode de vie. Je parle à la première personne du pluriel juste parce que je ne suis pas la seule de la famille. Je vis avec cinq frères et trois sœurs, ayant tous plus ou moins deux ans d'écart, sauf pour deux jumeaux, je suis la deuxième de la famille, après la garçon, alors je dois montrer l'exemple aux plus jeunes du travail que nous devons faire pour aider nos parents. Mais tous ces nobles ne nous connaissent pas, ils nous prennent pour des voleurs alors que nous ne somme rien de tout ça. Nous quémandons et les passant sont libres de nous donner de leur argent. Bref. La Fête des Fous allait arriver. La Fête des Fous ? Vous ne connaissez pas ? C'est une fête perpétuée depuis déjà vingts longues années, depuis que mes parents sont arrivés ici. Et cette fête, c'est le père de Clopin qui, il y a vingt ans de ça, créa une fête afin de célébrer la folie dans ce monde si sérieux. Alors ils s'installaient tous sur la place devant cette grande cathédrale et faisaient des spectacles tous aussi extraordinaires les uns des autres pour à la fin désigner le villageois le plus fous de la ville.

Voilà que j'ai vingt-ans maintenant et cela faisait plus de deux ans que je faisais partie de cette grande Fête qui était capable de réunir toute la population villageoise. Je dansais, je séduisais, je faisais tout ce dont j'étais capable de faire, sous les yeux de Clopin Trouillefou, qui lui avait suivis le chemin de son père. Il était aussi chargé de me protégé durant toute ma vie dès lors que ma mère décéda. En effet, six ans avaient passés depuis la mort de ma mère et Clopin s'était juré de veiller sur moi, afin qu'il ne m'arrive pas le même destin que ma pauvre mère. Pour en revenir à la Fête des Fous, j'y avais un rôle prépondérant, j'y dansais et jouais un peu l'assistante de Clopin. Comme chaque années, je fais monter plusieurs personnes afin de désigner

CHAPTER TWO "now, we are trapped in a curse..."

Désormais bloqué dans un monde sans magie, tu as vécu une vie normale. Enfin tout dépend de ce que normal veut dire pour toi. Maudit, tu vis ici depuis le début de la malédiction (tu es donc un personnage de conte), ou alors tu y es depuis un bout de temps seulement (tu es donc un sauveur ou une personne non-impliquée dans cette malédiction). Attention, Dieu sait ce que la reine vous a imposé comme vie, comme souvenirs... une chose est sûre, personne ne veut partir de Taleville. De toute façon, personne ne le peut. Quant aux autres, cela devait être dur de vivre sans ses véritables parents ? Ou peut-être ne vous ont-ils jamais dit la vérité ? Mais ce que Taleville redoute le plus ce sont sûrement les étrangers...

"You and no one else."