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M. Harysta Mendler
Admin | I'M THE BOSS
« For a moment, just a moment, lucky me »

M. Harysta Mendler

→ INSCRIT DEPUIS : 30/04/2012
→ MESSAGES : 1045
→ LOGEMENT : Petite maison en bordure de la ville, plus près du lac que du centre-ville.
→ JOB(S) : Gérante d'un bar à cocktails sur la plage du lac bordant Taleville.
→ HUMEUR : Envie de faire trempette...



MY LIVES ARE AWESOME ;
EVERYONE HAS A FRIEND :

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MessageSujet: Harysta Ψ Partir là-bas -   Harysta Ψ Partir là-bas - EmptySam 5 Mai - 8:16

MELODY HARYSTA MENDLER
CREDIT - TUMBLR

« Les hommes comprennent, j'en suis certaine »
"This is something that everyone knows :"

NOM & PRÉNOM(S) : Mendler, Melody Harysta ♦️ DATE DE NAISSANCE ET AGE : 2 février 1986 je ne sais où, et j'ai aujourd'hui 26 ans ♦️ ORIGINE(S) : Américaine ? ♦️ EMPLOI ET/OU ETUDE(S) : Je gère un bar à cocktails au bord du lac de Taleville ♦️ STATUT : Célibataire.

QUELQUES INFORMATIONS ESSENTIELLES SUR TOIJ'ai toujours été la première de la classe en cours de natation. C'est si facile de se laisser guilde par l'eau, je ne comprends pas que certains en aient peur ou n'y arrivent pas. Je suis plutôt proche de la nature, j'aime passer du temps dehors auprès d'un arbre. Je n'aime pas la marche à pied si je dois rester sur du béton. J'ai des tâches de naissances en forme de courbe, comme des vaguelettes, dans ma nuque. J'adore cuisiner, et encore plus dessiner. Si l'on me met une feuille de papier et un crayon dans les mains, j'ai du mal à m'arrêter. Je dessine tout et n'importe quoi, tout ce qui me passe par la tête...
TRAITS DE CARACTÈRE ♦️ Je suis plutôt calme, il me semble. Je n'ai pas l'habitude de me prendre la tête sauf si les choses en valent la peine. J'ai appris à relativiser dans la vie, et sur ce coup là, je pense que je ne m'en suis pas trop mal tirée. Je suis patiente, mais pas trop non plus, un peu tête en l'air, rassurante, je suppose agréable, mais rancunière et obstinée. Peut-être un eu trop sensible, même, et je n'aime pas qu'on me marche sur les pieds. Je pense arriver à m'assumer et à tenir tête aux autres. Je pense que c'est l'orphelinat qui m'a faite ainsi...
Elle tient surtout ça de sa tante, Arista...


CHAPTER ONE ♦️ "Because we all lived in a fairy >tale."


A L'EPOQUE TU ÉTAIS : J'étais le tout premier enfant d'Ariel, la jeune sirène qui a demandé à avoir des jambes pour épouser son prince Eric. La Melody qui a fait leur bonheur.♦️ LE CONTE : Je sors tout droit du conte de la Petite Sirène. Ce que je suis également, grâce à ma mère. ♦️ TON RÔLE DANS L'HISTOIRE : Je fais partie des enfants de héros. ♦️ DE QUEL COTE ES-TU ? : Je suis du côté du bien. Pourquoi devrais-je faire et vouloir le mal ? ♦️ TON DERNIER SOUVENIR : A deux ans on n'a pas vraiment de souvenir. Peut-être le visage de ma mère, mais c'est vague et je n'ai jamais pris ça au sérieux.




CHAPTER TWO ♦️ "now, we are trapped in a curse..."



Je suis orpheline. Je sais que je suis née sur le sol américain ; où exactement, je ne sais pas. Mais il est difficile de concevoir que quelqu’un ait traversé un océan avec un bébé sous le bras. Alors j’en ai déduis seule que j’étais Américaine. Je ne sais pas ce qui s’est passé pendant le tout début de ma vie, mais on m’a dit que j’avais deux ans quand j’ai été amenée à l’orphelinat où j’ai grandi jusqu’à mes onze ans. Oui. C’est à onze ans qu’on m’adopta enfin. Je n’avais rien de repoussant, j’étais une petite fille ordinaire et calme, je n’ai compris que plus tard que si les enfants étaient difficilement adoptés c’était à cause de la mauvaise réputation de l’orphelinat. La directrice était exécrable ; ce furent les années les plus dures de ma vie. Et puis, le plus difficile était d’adopter un enfant déjà « grand ». Ceux ne dépassant pas cinq ans ont plus de facilités, alors qu’en se faisant « vieux », ça devient plus compliqué. Parce qu’on a déjà un caractère qui nous est propre et on ne sait pas vraiment comment on peut réagir ; tandis que le caractère d’un jeune bambin est plus malléable.

C’est donc à onze ans qu’on m’attribua des parents. Fort heureusement, ceux-ci étaient doux, aimants, attentionnés, tout le contraire de la directrice de l’orphelinat. Et pourtant, ça a mis du temps à arriver, ce qui ne m’étonna pas vu ma maturité déjà acquise. Avant moi, ils n’avaient jamais réussi à avoir d’enfant à eux, d’où mon adoption, et leur amour qui sut arriver dans des temps finalement corrects. Ma mère était institutrice dans une école maternelle ; elle était généreuse et calme, je me suis mise à l’aimer énormément. Et puis je me suis aperçu que ses journées passées auprès d’enfants si jeunes la rendaient triste de ne pas avoir pu en avoir un. Mon père, lui, était avocat, et même s’il donnait l’impression d’être plus strict, il ne l’était pas réellement, dans le fond. Il m’aimait beaucoup également, même s’il ne le montrait pas aussi ouvertement que ma mère.

Contre toute attente, c’est pendant ma treizième année que j’appris la grossesse de ma mère. Il n’était pas impossible que mes parents eurent des enfants, seulement des problèmes médicaux faisaient que c’était très dur pour eux et sûrement improbable. Mais voilà, j’eus un petit frère, qu’ils nommèrent Tobias, et que j’adorais. J’ai d’abord eu du mal à me faire à l’idée, moi, qui avais grandi ailleurs et qui n’avais aucun lien de sang ; je ne me sentais plus vraiment comme leur enfant. Et puis en prenant en maturité, j’ai vu les choses différemment ; j’ai pris du recul et me suis attachée à mon « frère ». Vu mon écart d’âge avec lui, j’ai pris plaisir à lui enseigner les choses nouvelles pour lui ; l’école, le collège, le lycée. C’était une fierté d’être aussi grande et de pouvoir lui montrer le parcours que j’avais fait avant lui.

Tobias. Au premier abord, je n’aimais pas du tout la sonorité de ce prénom. C’était trop différent ce que j’avais eu l’habitude d’entendre pendant treize ans. Et lorsqu’il est né et qu’il a grandi, c’était une évidence. Tobias lui allait comme un gant, et cet esprit décalé était en totale concordance avec sa personnalité. Quant à moi, je n’ai pas eu à subir de choix trop horribles de la part de nos parents. On m’a apparemment retrouvée avec une couverture sur laquelle Melody était écrit. Ils n’ont même pas touché à l’orthographe, et ont gardé ce prénom. Il y avait également un H brodé en dessous. Je n’ai jamais su si ça avait été fait exprès ou si la personne n’avait pas eu le temps de finir le mot, mais ma mère m’a donc accordé un deuxième prénom qui fut Harysta, comme quelque chose de naturel, et mon père n’y trouva rien à redire. J’ai d’ailleurs une préférence pour le second. Même si Melody est orthographié d’une façon que je trouve agréable et que j’apprécie, je me suis toujours sentie plus « normale » avec Harysta. Cette consonance grecque est subtile et j’ai préféré m’approprier un prénom sûrement inventé plutôt que de m’en tenir à une gravure, même si elle me paraît étrangement familière…

J’ai donc grandi ainsi dans le Vermont. Je ne crois pas avoir été trop insupportable pendant mon adolescence, peut-être était-ce la peur de décevoir des parents qui n’étaient pas destinés à m’avoir pour enfant. Après mon diplôme, j’ai fait une école d’hôtellerie, avec la cuisine pour spécialité. J’ai toujours adoré faire la cuisine, et mes parents en étaient ravis ; ils ont souvent pu profiter de mes talents naissants. J’ai ensuite continué mon chemin à New York pour effectuer des stages dans le milieu, et perfectionner ma passion pour le dessin. Je m’y suis installée, j’avais une vie incroyable dans une ville incroyable. C’était un rêve de gosse que d’aller vivre à New York et même si j’adorais ma famille, la campagne m’ennuyait. Seulement, après des années passées dans une ville aussi vivante, j’avais besoin de retrouver de l’air pur et un coin tranquille pour exercer l’un des métiers qui me plaisaient tant. J’ai donc remporté mes affaires chez mes parents qui étaient ravis de me voir leur rendre visite, au moins une fois de temps en temps. Puis j’ai pris le strict minimum dans ma valise et suis partie chercher mon coup de cœur campagnard. C’est ainsi que je suis tombée sur Taleville.

Je n’avais aucune idée de l’existence de cette ville, aussi je fus agréablement surprise de la découvrir. Il y a donc de cela deux petits mois, je suis tombée amoureuse de l’endroit. Il était si paisible, si serein et sans histoire, comment ne pas craquer ? Rien que pour dessiner, c’était le décor idéal. Quand j’ai découvert que la ville était bordée par un lac, ce fut le déclic. Sur la plage était construit un petit bar qui m’attira immédiatement. Chaleureux, il avait l’air de recevoir des habitués, essentiellement. Le patron était âgé et je discutai beaucoup avec lui dès ma première visite. Le temps était bon et les cocktails étaient les bienvenus. En une semaine, j’ai passé le plus clair de mon temps sur la plage du lac et au bar, autant pour discuter et dessiner que boire – sans trop d’alcool, je rassure – que dans le reste de toute la ville. Si bien que le vieux patron m’engagea, faute de ne pas encore avoir trouvé un job meilleur. Mais il me convenait parfaitement, j’avais appris à manier les cocktails dans ma formation, et ce n’était pas un travail trop déplaisant. De plus, je faisais ainsi la connaissance de plus en plus d’habitants, ainsi que des différents employés de la page ; au bar, au centre de pédalos, tout comme les sauveteurs et autres habitués du coin – le lac était grand et par moment profond, ainsi les sauveteurs étaient nécessaires. J’ai donc passé près de deux mois à m’éclater dans mon travail et prendre mes marques dans la ville. Avec mes économies mises de côté et mon salaire tout frais, j’ai pu louer une adorable maison en retrait du centre-ville. J’ai fait un aller-retour chez mes parents pour récupérer mes affaires et les rassurer, et j’ai pour but de finalement pouvoir acheter la maison. Pour compléter ce ravissant tableau, le patron du bar, se faisant vieux, a décidé de prendre sa retraite et me léguer les reines de la boîte. J’ai d’abord refusé, car je n’étais qu’une nouvelle employée face aux autres serveurs et barmans, mais il a réussi à me convaincre en me disant qu’il n’avait jamais vu personne avoir un sourire pareil en confectionnant des cocktails. Il avait mis sa confiance en moi, et je ne comptais pas le décevoir.

"You and no one else."


QUI ES-TU ? : Manon, ou Ysea et Mermaid ♦️ CÉLÉBRITÉ(E) SUR L'AVATAR : Sarah Lancaster la magnifique ♦️ AVEZ-VOUS PRIS UN SCÉNARIO ? : Nope ♦️ COMMENT TU ES TOMBÉ(E) SUR LE FORUM ? : Chui un peu admin, tu vois. Le fonda c'mon coupain ♦️ UN MOT EN PLUS ? : Harysta Ψ Partir là-bas - 3864879675



Dernière édition par M. Harysta Mendler le Jeu 21 Juin - 9:42, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Harysta Ψ Partir là-bas -   Harysta Ψ Partir là-bas - EmptyMar 15 Mai - 13:09

Histoire courte, mal écrite et inintéressante, bonjouuuur ♪ Harysta Ψ Partir là-bas - 26920972 J'ai enfin fini !

(Oui, j'avais envie de poster juste pour ça).
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