CRÉDIT - TUMBLR

« you better run now »

"This is something that everyone knows :"

NOM & PRÉNOMS : le jeune homme se nomme Leo, un prénom simple et très rependu. Son second et Ethan, qu’il aime beaucoup. Son nom quand à lui est Harvelle, le même que celui de sa sœur, ce dernier lui vient sans doute de son père. DATE DE NAISSANCE ET AGE : personne ne connaît la date exact de la naissance des jumeaux, pas même eux. On sait juste qu’ils sont tout les deux âgés de vingt trois ans, et qu’ils sont nés un soir d’été. Personne n’en sait plus. ORIGINE : il est d’origine américaine, tout comme sa sœur. EMPLOI : le jeune homme enchaîne les petits boulots pour contribuer à leurs besoins, il ne garde jamais un emploie stable, étant un aimant à problème. Les études, cela lui passe par-dessus la tête, disons que ce ne son pas sa priorité, la première est de subvenir aux besoins de sa sœur et lui. STATUT : il est célibataire, un petit malfrat comme lui est connu comme un jeune homme peu fréquentable.

CHAPTER ONE "Because we all lived in a fairytale."

A L'EPOQUE TU ÉTAIS : Hansel, le frère de Gretel. LE CONTE : Hansel et Gretel, tout le monde le connaît, l'histoire de deux petits enfants abandonnés par leurs parents qui se rendent dans une maison en sucrerie, habitait par une méchante sorcière. TON RÔLE DANS L'HISTOIRE : Hansel, le petit frère un peu trop gourmand qui a attiré tout les problèmes. DE QUEL COTE ES-TU ? : même si la gourmandise est un défaut, il fait partit du bon côté. TON DERNIER SOUVENIR : il se souvient encore être au milieu d'un marché avec sa soeur, entrain de voler une pomme ou du pain, comme à leur habitude.



Tout avait commencé un soir d'été, alors que le soleil commençait tout juste à se coucher à cette heure tardive. La chaleur était présente, cette dernière était d'ailleurs marquée sur chaque visage des villageois, ces derniers n'étant pas habitués à une telle chaleur. Hansel était donc né un soir d'été, un jour caniculaire. Certes, les deux parents étaient heureux de voir naître cet enfant, seulement il n'y en avait pas qu'un, non, Hansel n'était pas le seul à être né ce soir là. Gretel, sa sœur, avait elle aussi vu le jour. Des jumeaux, voilà à quoi la mère des deux enfants venait de donner naissance. Tous deux étaient heureux, cela n'était pas la question, seulement quelques sujets les préoccupaient... Comment pourraient-ils réussirent à faire vivre leurs deux enfants alors que tous deux avaient déjà du mal à subvenir à leurs besoins ? Seulement, le père ainsi que la mère essayèrent de penser à autre chose, après tout ils devaient ce soir là, se réjouirent de la naissance de leurs enfants.

Seulement, les problèmes ne s'évanouissent jamais, ils reviennent toujours à la charge, un jour ou l'autre. C'est bien ce qui arriva quelques années après la naissances des enfants. Les jumeaux étaient âgés d'environs une dizaine d'année, mais tout deux savaient déjà bien se débrouiller ayant apprit par leur père à se débrouiller seule. Cette année là, une fois de plus, la famine faisait rage dans le petit village qu'habitait Hansel. La faim se creusait sur les visages de chaque habitant, chacun avait faim et n'arrivait pas à subvenir à leur besoins. Les parents des jumeaux n'avaient pas échappés à la règle, et même si ils n'en parlaient pas devant leurs enfants, le sujet était encore délicat. Il fallait faire quelque chose et vite, avant que tous meurs de faim. Aussi, l'horrible mère des deux enfants eu une idée, égoïste comme elle l'avait toujours été, venant d'une ancienne famille de la haute société, cette dernière avait toujours eu du mal à accepter d'être arrivée à là. « Il faut faire quelque chose, si nous ne réagissons pas, la faim nous aura tuée avant l'hiver ! » Le père et la mère savait très bien qu'elle était la seule solution pour que tout leur problème s'évanouisse, seulement le père n'était pas partant pour cette dernière. La mère quand à elle se fichait complètement de ce qui pouvait bien arriver à ses enfants, elle ne les avait jamais vraiment portés dans son cœur. Le père quand à lui, cependant forcé, n'avait pas eu d'autre choix que d'accepter ce terrible dilemme. « Emmène les dans la forêt demain, pour couper du bois, et fais bien attention à partir discrètement... » Hansel n'en revenait pas, n'arrivant pas à fermer l'œil de la nuit, sa sœur et lui pouvait entendre toute la discussion de leurs parents. L'enfant se retourna vers sa sœur, sur son visage on ne pouvait lire que la terreur et la peur, il n'aimait pas la voir ainsi. « Je sais que ce n'est pas facile mais crois moi... nous vivrons bien mieux sans eux. » L'enfant avait l'impression de prendre une douché froide, leur propre mère voulait se débarrasser d'eux. Se tournant vers Gretel, il prit cette dernière dans ses bras, voulant la rassurer. « Ne t'inquiète pas chère sœur, on va trouver une solution, je te promets qu'il ne nous arrivera rien. Dieu ne nous abandonnera pas. »

La nuit précédente avait été très dure, contrairement à sa sœur, Hansel n'avait pas réussie à fermer l'œil de la nuit, prenant peur que leurs parents ne fasse quoique ce sois pendant la nuit contre Gretel et lui. Le soleil prenant lentement place dans le ciel, tous deux se virent entraînés dans la forêt qui bordait leur village par leur père, qui comme prévu, avait prétendue qu'ils devaient tous les trois chercher du bois pour chauffer la maison. Hansel et Gretel savait bien ce que leur père leur caché, cependant, le petit garçon avait bien pris soins de ramasser quelques petits cailloux afin de les laisser tomber au fil de leur chemin. De ce fait tout deux pourraient retrouver leur chemin. Comme Hansel s'y attendait, au bout d'une petite heure, la silhouette de leur père disparu entre les arbres, laissant les deux enfants seuls. Seulement, tous deux, main dans la main, retournèrent dans leur petite maison, suivant les petits cailloux que le jeune homme avait semé derrière eux. Leurs parents paraissaient heureux de les revoir. Cependant Hansel se méfiait et savait très bien que sous les sourires de sa mère se cachait une colère pour les voir revenir alors qu'elle voulait se débarrasser d'eux. Ce ne fut donc pas surprenant lorsque quelques jours plus tard, la même chose arriva.

Cette fois-ci, Hansel et Gretel ne c'était pas préparés à faire face à la nouvelle tentative de leurs parents, tous les deux étaient désormais piégés, perdu, au milieu de la forêt. Petit à petit, cette dernière était peu à peu plongée dans le noir, la nuit prenant place. La chaleur avait laissé place à un vent glaciale, et Hansel avait l'impression que ces rafales de vent le transperçait de toute pars. Malgré tout, il essayait de garder la tête haute, ne voulant pas que sa sœur puisse voir la peur qui brillait dans ses yeux, il se devait d'être courageux. Pour elle. Aussi, après quelques heures de marche, tous les deux croyaient rêver lorsqu'une lumière apparut au loin. Tous deux ne perdirent pas de temps pour s'y aventurer, ne souhaitant pas dormir dehors durant cette nuit-là, sachant que les loups régnaient dans ce bois. Hansel gardait la main de sa sœur dans la sienne pour se rassurer, comme pour se rappeler qu'elle était là. Quand tous deux arrivèrent à destination, ils découvrirent avec stupéfaction la maison qui leur faisait fasse. Cette dernière était entièrement faite de sucrerie. Les fenêtres étaient entourées de canne à sucre, des bonbons ornaient le toit de la charmante maison, et pleins d'autre gourmandise aussi était présente. Le garçon se surpris à passer une langue sur sa lèvre, sentant la faim au creux de son ventre qui le tiraillait. Au bout de quelques instants, tout les deux finirent pas entrer dans cet endroit charmant qui ne cessait de les attirer. A l'intérieur de celle-ci, de grand buffet était remplit de bonne chose, passant de la tarte au citron au petit carré de chocolat. Tout avait l'air si bon, Hansel aurait fait n'importe quoi pour ne croquer ne serait-ce qu'une bouchée... Cependant, Gretel le réprimanda immédiatement. « Hansel, ne touche à rien, nous ne savons où nous sommes, nous devons prendre garde. » Le garçon savait que sa sœur avait raison, cependant la tentation était trop forte. Tellement qu'Hansel avait finit par craquer et mordre dans un carré de chocolat. Aussitôt, une veille et horrible femme c'était levée d'un fauteuil, s'avançant rapidement vers eux, son regard froid et terrifiant plongé dans les yeux des enfants. « Mon petit, sais tu que tu serais un bon dîner pour une sorcière comme moi ? » Hansel se surprit à trembler légèrement, la peur le prenant subitement. Gretel aussitôt ne perdu pas de temps pour se mettre entre la sorcière et lui, voulant protéger son frère. Cependant la veille femme ne prit pas de peine pour la passer et attraper l'enfant par le bras, bien décidée à en faire son repas.

Enfermé dans une cage, Hansel était désespéré. Il pouvait voir le mauvais traitement que la sorcière faisait subir à sa sœur, lui obligeant de faire toutes les tâches de la maison. Le garçon quand à lui en avait marre de rester piégé comme cela, à ne rien pouvoir faire. Il voulait l'aider, mais il n'avait aucun moyen de sortir d'ici. Cependant, ce soir là, la sorcière finit par le sortir de cette cage, étant bien déterminée à le faire rôtir dans les flammes. Seulement, tout juste avant que la méchante femme ne pousse son frère, Gretel n’hésita pas une seule seconde pour pousser la femme dans ses flammes, ne voulant pas perdre son frère. La dernière chose qu'Hansel se souvienne de cette nuit, c'est bien le cri aigu de la sorcière, coincée dans les flammes de son four pour toujours.

"You and no one else."

CHAPTER TWO ♦ "now, we are trapped in a curse..."

C’est le souffle court, la respiration saccadée, des goûtes de sueurs perlant sur son front que le jeune homme se réveilla une fois de plus, étouffant un cri de panique. Il tenta de respirer doucement, reprenant doucement ses esprits. Leo remarqua qu’il était assis sur une chaise, devant la cheminé, les flammes crépitant encore. Il avait horreur de s’endormir ici, à chaque fois que c’était le cas il avait le droit au même cauchemar. Le jeune homme n’avait jamais compris d’où lui venait cette phobie du feu ou encore ce cauchemar incessant qui revenait toujours. Effectivement, ce dernier était toujours le même. Il se voyait avancer dans un salon, en compagnie d’Eden et lorsque Leo s’approchait trop près du feu il pouvait voir l’horrible visage d’une femme qui se mettait alors à crier d’une voix aigu.

Le jeune homme se leva, commençant à se calmer doucement. Eden était sûrement en train de dormir dans la chambre que tous les deux avaient emménagée pour pouvoir y dormir. S’avançant vers la fenêtre, on ne pouvait voir que quelques petits lampadaires éclairés la rue alors que la nuit avait englobée toute la ville dans le noir. D’ici, il pouvait voir le début de la forêt, elle aussi plongée dans le noir. Cette dernière avait une allure terrifiante à cette heure là de la nuit, Leo qui aimait à son habitude s’y rendre n’en avait pas envie, le noir avait toujours eu tendance à lui faire peur. Se retournant, il traversa le petit salon aménagé pour se rendre dans leur chambre. Comme il l’avait prévu, Eden était tranquillement en train de dormir sur l’un des deux lits que tous les deux avaient trouvés pour avoir une chambre correct. La voir endormis, calme comme elle l’était là le faisait sourire, il se disait que même s’ils avaient du mal, elle semblait quelque peu heureuse. Il aurait tout fait, et encore aujourd’hui pour qu’elle le soit.

S’allongeant dans le second lit qui trônait dans la chambre, Leo se disait que au fond, ils étaient sans doute plus heureux à l’heure actuelle, même si l’argent et le luxe n’y était pas. Il faut dire que le jeune homme n’avait jamais apprécié d’être réparti dans une famille d’accueil. Dans chacune où sa sœur et lui avait été placés, cela s’était mal terminé. Aussi, Eden et Leo avaient toujours tendance à s’attirer des problèmes, volant quelques confiseries dans la plupart des commerces qu’ils connaissaient. Il tenta en soupirant d’enlever cette pensée de son esprit, à chaque qu’il se mettait à penser à cela, la pensée que ses parents les avaient abandonnés lui revenait à l’esprit. Il détestait cela, pensé à eux. A ces personnes adultes qui n’avaient pas été capable d’élever deux enfants auquel ils avaient donnés naissance. Ces sûrement parce qu’il avait été abandonné tout comme Eden que Leo n’a jamais apprécié faire partie d’une famille, il n’a jamais su ce que cela était vraiment et ce que ça impliquait. Sa seule famille était sa sœur, Eden, il n’y avait personne d’autre de plus important qu’elle à ses yeux.

Leo continua quelques secondes à jurer sur ses géniteurs puis, la question de subvenir à leur besoins pour le reste de la semaine lui revint à l’esprit. Eden et lui avait toujours eu du mal à ce sujet, il faut dire que tous les deux n’étaient aucunement riche, tous les deux étaient donc obligés d’enchaîner les petits boulots, espérant que le peu d’argent qu’ils récoltaient leur permettraient de subvenir à leur besoins pour le reste du mois. Le jeune homme se disait qu’il était temps de trouver un nouveau petit boulot, il faut dire que deux jours avant il s’était fait une fois de plus viré, tout cela pour conduite déplacé. Leo n’avait jamais su se tenir correctement, et de nature impulsif il ne se retenait pas pour dire ce qu’il pensait. Tout cela lui attirait beaucoup de problème, c’est bien pour cela qu’il se remettait souvent en question, se disant qu’il était temps qu’il change un peu si il voulait que sa sœur et lui survive.

Il n’y avait pas une seule nuit sans que toutes ces questions le tracassent et l’empêche de dormir correctement. Seulement, s’il voulait être en forme le lendemain pour trouver un nouvel emploie il se devait de fermer l’œil. C’est donc doucement qu’il commença à fermer les yeux, se laissant tomber dans un sommeil profond, qu’il espérait cette fois-ci sans cauchemar.